On me dit qu’en hommage à Peyo, une nouvelle carte est disponible.
La voici :
Toute ressemblance avec une mascotte olympique est VRAIMENT non voulue.
On me dit qu’en hommage à Peyo, une nouvelle carte est disponible.
La voici :
Toute ressemblance avec une mascotte olympique est VRAIMENT non voulue.
A Pâques, les joueurs de Fou d’balle trouvent aussi des œufs.
La preuve en carte :
Joyeuses Pâques à toutes et tous.
C’était ma deuxième participation à ce festival particulièrement destiné aux enfants. Des jeunes joueuses et joueurs sont venus découvrir Fou d’balle … et se sont bien amusés semble t’il.
Il y avait plein de monde. J’ai failli perdre ma voix.
Cette année, j’avais prévu le piano.
Quatre grandes inspirations pour Fou d’balles :
L’excellentissime film Shaolin Soccer de Stephen Chow :
Le non moins excellentissime sketch des Monty Pythons : Match de football pour philosophes.
Dans le mémorable Lagaffe mérite des baffes T13 (édition Dupuis 1979), les pages 34, 35 et 36 :
Et le génialissime jeu Tempête sur l’Échiquier de Bruno Faidutti. Il me semble m’être procuré mon premier exemplaire de ce bijou ludique courant 1990 (au siècle dernier !) dans la boutique Jeux Descartes de la rue des Écoles.
Du coup, j’ai eu une super inspiration de couverture pour les règles. De mauvaises langues diront qu’ils y voient une vague ressemblance avec le livret de règles de la première édition française de l’OEil noir … ce serait tout à fait fortuit.
C’était TOP. De nombreuses parties endiablées ont eu lieu : en 1 contre 1, ou en équipe, avec des joueuses et des joueurs de toutes tranches d’âges.
Deux auteurs de la LEAF m’avaient fait des remarques de design graphique sur le prototype qui n’avait pas été modifié depuis mai ou juin. Je les ai adressées.
J’avais aussi observé que laisser aux joueurs la possibilité de choisir des cartes visibles pendant la phase de pioche ralentit beaucoup le rythme du jeu lors d’une première partie. Après plusieurs parties, les cartes sont connues, et cette possibilité limite un peu le hasard du tirage. Mais pour une partie d’initiation cette possibilité est retirée.
L’utilisation d’un sablier utilisable de façon optionnelle, pour accélérer une prise de décision adverse qui s’éterniserait est adoptée.
Le nombre de cartes de la version d’initiation est maintenant réduit à 17 par couleurs, pour un total de 20 cartes différentes. A un moment les decks étaient constitués de plus de 50 cartes par couleur. Avec 150 cartes au total, deux parties ne se ressemblent jamais. La répartition des bonus a aussi été modifiée : d’uniforme elle varie maintenant selon la couleur pour rendre moins attrayant le tirage des cartes jaunes, et inciter aussi à piocher des cartes vertes de modification de terrain (sous-sollicitées par les joueurs découvrant le jeu). Ce dernier point peut modifier l’équilibrage du jeu pour des joueurs connaissant le jeu : c’est une modification que je garde en test.
Cette version est aussi celle du retour d’icônes pour remplacer les textes explicatifs des effets de cartes, qui sont jugés « trop longs » à lire par certains. Dans de nombreux cas, l’utilisation d’icônes permet de gagner en concision. Pas dans tous !
Je connais d’autres jeux à bases de cartes où il y a beaucoup de texte :
Si on se limite à une comparaison avec un jeu très efficace : Clank ! , dont les cartes font référence à 3 ressources/symboles de bases (compétence, épée et botte) plus l’or, les « ressources » de bases de Foud d’balle sont au nombre de 5 (course, passe, … ) plus le bonus. Vu la complexité du jeu de balle au pied, il est difficile de descendre à moins de « ressources » sans transformer le jeu en un wargame ou un jeu de dame. En terme de choix réels à un moment donné, certaines possibilités sont exclues de facto : l’arrêt et le tir au but, …
Bref, je ne suis pas persuadé de l’absolue nécessité de réduire l’utilisation du texte dans le cadre de Fou d’balle.
La version TableTopia est à jour : cela va me permettre de réaliser une nouvelle vidéo en accord avec la version simplifiée du jeu.
Le festival Play Sorbonne 2023, c’était top. Je n’ai pas eu un moment pour souffler (sauf vers 17h où j’ai pris 10 minutes pour aller déjeuner).
Nous étions en sous-sol, à côté du grand amphi où avaient lieu des conférences auxquelles j’aurais bien aimé assisté. A l’étage, il y avait une superbe ambiance de fête.
Le 12 septembre au soir avait lieu une session de la LEAF plutôt exceptionnelle au Play’in by Magic Bazar. Pour la toute première fois des éditeurs étaient présents : Lethiea, Funny Fox, Laboludic, Funforge et Don’t Panic Games. Ils ont testé et fait des retours sur les prototypes se trouvant dans leur ligne éditoriale. Merci à Ludovic et Alain pour cet événement.
Cette soirée ayant drainé beaucoup de monde j’ai pu présenté Fou d’balle à des auteurs qui ne le connaissaient pas déjà, lors d’un partie en 2v2. J’ai observé une situation qui m’a ravi : deux joueurs complotaient à voix basse pour préparer leur prochain coup ; un joueur de l’équipe adverse m’a demandé si ses adversaires ne trichaient pas. J’ai jubilé. C’est exactement l’état d’esprit du jeu : se concerter en secret pour mijoter des « mauvais » coups sous le regard inquiet de l’équipe adverse.
Merci à Emmanuel C. pour ses précieux retours.
Le 26 et 27 août, Fou d’balle était présent au Parc Sainte-Barbe à Fontenay-aux-Roses. Un public familial était présent. Mais des parties ont été jouées avec tout aussi bien des joueurs novices que des joueurs experts.
Les joueuses et joueurs présents lors de la soirée protos du mois d’août du Bonheur des Jeux m’ont confié s’être bien amusés.
Le public était majoritairement « initié », voire « expert ». Les parties ont été majoritairement jouées en 2v2. Certaines se sont jouées à un rythme soutenu, d’autres ont été sujettes à de « l’analysis paralysis ». J’avais prévu un sablier sur une tablette mais ne l’ai pas sorti : les joueurs semblaient apprécier de pouvoir anticiper tous les coups.